Dr Sayegh à l'Orient le jour (30-11-2016)
Les Kataëb ont longtemps plaidé pour la mise en place d'une nouvelle loi à même de renouveler la classe politique libanaise. Salim Sayegh, vice-président du parti, rappelle à L'OLJ que sa formation a présenté une proposition de loi fondée sur la majoritaire uninominale et donc découpant le Liban en 128 circonscriptions. « Nous voulons une nouvelle loi, parce qu'il est intolérable de continuer à élire des Chambres conformément à loide 1960, mais personne n'œuvre sérieusement pour cet objectif », ajoute M. Sayegh, avant d'estimer que « le retard à former le cabinet Hariri ne vise pas (principalement) à entraver le vote d'une loi électorale, mais il s'agit de lignes rouges que l'on trace pour le nouveau mandat, et cela est très dangereux ».
Les Kataëb ont longtemps plaidé pour la mise en place d'une nouvelle loi à même de renouveler la classe politique libanaise. Salim Sayegh, vice-président du parti, rappelle à L'OLJ que sa formation a présenté une proposition de loi fondée sur la majoritaire uninominale et donc découpant le Liban en 128 circonscriptions. « Nous voulons une nouvelle loi, parce qu'il est intolérable de continuer à élire des Chambres conformément à loide 1960, mais personne n'œuvre sérieusement pour cet objectif », ajoute M. Sayegh, avant d'estimer que « le retard à former le cabinet Hariri ne vise pas (principalement) à entraver le vote d'une loi électorale, mais il s'agit de lignes rouges que l'on trace pour le nouveau mandat, et cela est très dangereux ».
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